CR Coupe Claudia 12/13 avril 2025 par FRA92

Jour 1 – Vent fort et climato-scepticisme léger

Quatre manches enchaînées sous un vent qui monte plus vite que le niveau des océans… enfin, sauf si vous demandez à votre oncle climato-sceptique qui pense que c’est juste une phase de la Lune.

(3, 2, 2, 3), c’est notre score, pas la température du globe sur les 50 prochaines années.

On passe la première bouée au vent devant, à croire qu’on avait un contrat avec Neptune. Un Fireball tente de nous doubler façon SUV sur une nationale : grand-voile dans le dos, regard noir, mauvaise foi en option – une vraie tempête, mais sans changement climatique (juré, craché, Fox News l’a dit).

Jour 2 – Régate et administration chaotique

Avec un physique digne d’un responsable RH à la Maison-Blanche sous Trump (fatigué, débordé, et un peu traumatisé), on sort encore 4 manches solides (5, 3, 5, 4).

Un dessalage ? On appelle ça un "réajustement stratégique". Une collision ? C’est sûrement la faute d’un complot organisé par un deep state nautique.

On garde la 3e place au général, comme un fonctionnaire de l’administration Trump qui réussit à faire son boulot malgré le chaos environnant : miracle ou instinct de survie ? Personne ne sait.

Conclusion – Pour les platistes de la voile

Au-delà des chiffres, ce qu’on retient, c’est qu’on a vu de la courbe dans le vent, des bascules dans les angles, et même une ligne d’horizon courbée (oui oui, amis platistes, on a vérifié : la Terre est toujours ronde… sauf en navigation satellite low cost).

Départs fiables, manœuvres affûtées, et cerveau branché météo =

Le meilleur reste à venir – sauf si vous pensez que le plan d’eau est un hologramme du gouvernement mondial.